News - 05.09.2011

Actes de violence et polémique autour du 23 octobre : discours attendu de Caïd Essebsi ce mardi

Marquant la rentrée politique, à six semaines du scrutin du 23 octobre, dans un climat en effervescence, le Premier ministre, M. Béji Caïd Essebsi s’adressera mardi 6 septembre, à la Nation, dans un discours radiotélévisé, sur la situation générale qui prévaut dans le pays annonce le Premier ministère.

Les Tunisiens attendent en effet les éclaircissements du gouvernement suite aux événements survenus dans plusieurs régions du pays, notamment, Sbeïtla, Metlaoui, Sidi Bouzid, Meknassi, Métouia et Douz, ainsi qu'à la polémique entre les différentes parties politiques et civiles au sujet de l'échéance électorale du 23 octobre prochain.
 

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10 Commentaires
Les Commentaires
Ben Selma - 05-09-2011 21:15

plus de discours docile et long , ça ne sert à plus à rien les leçons de morale, il faut plûtôt s'attaquer au mal que d'attendre qu'il se produise un malheur encore plus grand, et pourquoi attedre à ce que les gens s'entretuent pour intervenir pourquoi pas avant? vous nous laissez comprendre que vous ne pouvez pas vous attaquer aux organisateurs de ce mal , ou alors que vous n'avez pas pu les identifier et ça aussi c'est encore plus grave.

ben saad - 06-09-2011 06:51

Rabbi Yoster

H. Makni - 06-09-2011 10:54

Si l'on ne veut pas assister à la mise à sac de la révolution, si l'on ne souhaite pas le come-back de la mafia, si l'on a un minimum de respect pour un peuple qui a su s'affranchir de la peur pour déloger un mafieux, un clan, ses gangs, alors il faudrait que BCE cesse de jouer à leur jeu, que les magistrats soient moins corrompus, les flics soient moins laxistes, que les Partis politiques soient moins conciliants, les médias soient moins complaisants, et la majorité silencieuse moins frileuse. Aujourd'hui, nos enfants s’impatientent ; et Demain, ils risquent de nous incriminer pour avoir laissé la transition démocratique se faire avorter.

Ali Salah - 06-09-2011 10:55

Dpeuis le 14 janvier, la Tunisie vit sous la menace des hommes de main de l'ancien régime : des dizaines de milliers, sans compter les indics, vigiles et espions du quotidien. Mafieux, voyous de l'ex-RCD : tous s'unissent pour salir, casser, tabasser le pays. Leur objectif consiste à instaurer le règne de la peur, se venger, tuer la révolution, chaparder le pouvoir. Ils combinent en multipliant des opérations coup-de-poing par le biais de petits mercenaires...

Farouk Tounsi - 06-09-2011 11:03

Aujourd'hui, il faudrait que BCE sache tirer les enseignements correctifs au vu des résultats du Sondage de TAP. Il est grand temps que BCE s'incline devant la volonté du peuple, et mette en place les revendications tant exprimées.

ibenthawra - 06-09-2011 14:13

il peut dire mille discours les elections doivent se derouler le 23 octobre inshallah pour ne pas exposer le pays vers l'inconnu et le chaos .point fial, le peuple ne supporte plus cette magouille alors aillez un peu de patriotisme et finissant sans probleme ce que vous avez promis de accomplir .

Fathallah - 06-09-2011 19:38

Prière ne pas oublier la petite ville de Hergla qui venait de se réveiller pour se livrer à des affrontements déclarés entre deux groupes virulents qui veulent devenir maitres de la ville. Quoi, après la Révolution que nous croyions le vecteur de la Démocratie, de la Liberté et de l'Émancipation de la population tunisienne, voici l'apparition, grandeur nature, du démon du tribalisme qui resurgit pour détruire l'unité et l'entente entre les familles. Pour revenir au discours de Mr le Premier Ministre, je peux dire, en toute honnêteté intellectuelle qu'il est venu un peu tard puisque la situation a commencé à s'envenimer depuis un bon bout de temps. Mr le Premier Ministre parle au jour d'aujourd'hui de 47 partis qui proposent un référendum, alors que la question a été soulevée depuis un bon bout de temps. Mais comme le Premier Ministre n'a pas accordé d'importance à cette proposition émanant de "groupuscules de partis" et a continué à favoriser les "grands Partis", ces derniers ont vite compris que le jeu est réservé pour eux et se sont engagés dans une spéculation à outrance pour un seul objectif d'arriver au Bardo et après ils auront toute la latitude pour gouverner le pays selon leur agenda à eux laquelle ne correspond que peu ou prou à la volonté du peuple. Alors, je propose à Mr le Premier Ministre dont personne ne peut douter de sa bonne foi, d'engager le processus requis pour la délimitation des prérogatives de la Constituante avant son installation pour se prévaloir, à ce moment là, de sa souveraineté et de sa totale liberté de faire ce que bon lui semblera. Profitons maintenant de la souveraineté absolue du peuple avant de tomber sous la coupe de la totale souveraineté de la Constituante. Ce n'est pas trop pour un Peuple devenu "Héros" par la Révolution de sa Jeunesse. En tout état de cause, j'estime que toutes celles et ceux qui militent pour la promotion de notre pays s'alignent sur cette position pour amener les Parties concernées à agir tout de suite avant que cela ne soit pas trop tard. J'estime personnellement que Mr le 1er Ministre dispose d'un capital de confiance suffisant et d'une habilité extrême pour nous sortir de l'impasse.

Bibi - 07-09-2011 00:34

A mon avis personnel le peuple est un peu agité par l'incertitude, devenu craintif, peut être déçu, il est dans un état psychologique très particulier du à plusieurs facteurs et de manipulateurs + ou - honnêtes, donc le peuple a besoin d’être aidé, guidé, orienté, éclairci, éduqué, informé, etc.... et ceci pourrait se réaliser grâce aux débats télévisés explicatifs, par la radio et leurs commentaires analytiques, les journaux et leurs reportages témoignés, etc...

Bouzaiane Mohamed - 07-09-2011 09:38

Il est de notre droit d'être informés de ce qui se passe chez nous.Nos journalistes doivent paticiper à la diffusion de lavérité avec honneteté, professionalisme et sans aucune amplification qui leurs attire plus de lecteurs et provoquer des confusions chez la population. Ils sont en partie responsables à la fois de la cohésions et des améres déchirures sociales. Notre pays a besoin de calme pour que les gens se consentrent pour une rapide reconstrion du pays. Le patriotisme ne veut pas dire anarchie et Hamagis. Nous pouvons être très libres mais dissiplinés, car notre liberté doit sarrêter aux limites de celles des autres. Une nouvelle éduction sociale est à inclure dans tous nos programmes. Il est clair que les médias ont activement participé au déclanchement et au suivi de la révolution et il est temps qu'ils utilisent leurs talents pour sauvegarder les acquis de dizaines d'années de labeur collectif. Il est du devoir de chacun de nous de comprendre les frustrations causant le gaabagi et de se mettre dans la tête que les inconscients vont couler avec les plus conscients. Nous sommes en difficulté économique, financière, sécuritaire et la panique ajoutée à la précipitation des actes de vangeance ne font qu'aggraver la situation. Cette situation ne peut être maîtrisée que par les chérifs dans tous les secteurs. La révolution doit continuer dans nos esprits avec un vrai patriotisme basé sur l'entraide et les sacrifices en attendant des jours meilleurs qui ne tarderons pas à venir si nous arrivons à maîtriser par tous les moyens pacifiques et légaux le phénomène de gaabacgi manipulé.

Bouzaiane Mohamed - 07-09-2011 10:36

Il est de notre droit d'être informés de ce qui se passe chez nous.Nos journalistes doivent paticiper à la diffusion de lavérité avec honneteté, professionalisme et sans aucune amplification qui leurs attire plus de lecteurs et provoquer des confusions chez la population. Ils sont en partie responsables à la fois de la cohésions et des améres déchirures sociales. Notre pays a besoin de calme pour que les gens se consentrent pour une rapide reconstrion du pays. Le patriotisme ne veut pas dire anarchie et Hamagis. Nous pouvons être très libres mais dissiplinés, car notre liberté doit sarrêter aux limites de celles des autres. Une nouvelle éduction sociale est à inclure dans tous nos programmes. Il est clair que les médias ont activement participé au déclanchement et au suivi de la révolution et il est temps qu'ils utilisent leurs talents pour sauvegarder les acquis de dizaines d'années de labeur collectif. Il est du devoir de chacun de nous de comprendre les frustrations causant le gaabagi et de se mettre dans la tête que les inconscients vont couler avec les plus conscients. Nous sommes en difficulté économique, financière, sécuritaire et la panique ajoutée à la précipitation des actes de vangeance ne font qu'aggraver la situation. Cette situation ne peut être maîtrisée que par les chérifs dans tous les secteurs. La révolution doit continuer dans nos esprits avec un vrai patriotisme basé sur l'entraide et les sacrifices en attendant des jours meilleurs qui ne tarderons pas à venir si nous arrivons à maîtriser par tous les moyens pacifiques et légaux le phénomène de gaabacgi manipulé.

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