Terrorisme : les chiffres chocs de Guterres
C’est le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, qui vient de révéler le lourd bilan causé par le terrorisme de par le monde ces dernières années. «Alors que les conflits se sont multipliés et intensifiés ces dix dernières années, les attentats terroristes ont augmenté et pris de l’ampleur, détruisant des sociétés et déstabilisant des régions entières, alerte-t-il. L’année dernière, au moins 11 000 attentats terroristes ont eu lieu dans plus de 100 pays, faisant plus de 25 000 morts et 33 000 blessés (...) En 2016, cinq pays concentraient près des trois quarts de tous les décès causés par le terrorisme : l’Irak, l’Afghanistan, la Syrie, le Nigeria et la Somalie. On a estimé à 90 milliards de dollars les conséquences économiques mondiales du terrorisme en 2015, mais ces chiffres pourraient être en fait plus élevés. En 2015, les incidences économiques du terrorisme ont représenté 17,3 % du PIB en Irak, 16,8 % en Afghanistan».
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Et que vient faire ce António Guterres dans la plus grande organisation qui porte la responsabilité toute entière dans toutes les guerres depuis 1954 ? Que l'on les dise qu'elle différence entre la SDN et l'ONU ?
A-t-on recensé les sociétés, les banques, les industriels des engins de la mort, les intermédiaires, les politiciens corrompus on inconscients, et les réseaux des bandits internationaux indépendants ou camouflés dans diverses administrations publiques et privés? L’essentiel est de sécuriser les innocents, les peuples dont les ressources humaines et matérielles sont sous les loupes des prédateurs. Ils sont toujours cibles des virus de tout genre conçus, confectionnés et injectés par de géants prédateurs de plus en plus féroces et avides de vies humaines. Malheurs aux faibles et aux moins intelligents ou aux moins méchants qui ne peuvent être que proies faciles pour les plus développés. Que peut faire l’ONU pour réduire les dégâts?
