Nouveau président de la LTDH : Koussari face à Ben Moussa, Hammami, Kheriji et Romdhani
Qui sucèdera à Me Mokhtar Trifi (qui n'a pas voulu se représenter), à la tête de la Ligue Tunisienne des Droits de l’Homme, parmi les 25 nouveaux élus? Le scrutin avait mis en compétition deux listes, la première conduite par Me Anouar Koussari, considéré, bien qu’il s’en défend, comme proche du PCOT et la seconde, se voulant celle du wifek rabiti, comprend notamment l’ancien bâtonnier des avocats, Me Abdessettar Ben Moussa, Ayachi Hammami, Mohamed Salah Kheriji et Messaoud Romdhani. Une nouvelle course aux voix commence dès la réunion, cette semaine, du nouveau comité directeur pour l’élection du président, la formation du bureau composé de 11 membres et la répartition des responsabilités.
Mokhtar Trifi: le triomphe de la démocratie
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Rien à faire tout le monde ne court que derrière une chaise, on aurait vraiment bien aimé que les angles soient déjà arrondis entre gens sages , sans appartenance politique marquée,qui aurait surement entachée leurs critiques aux gouvernants actuels et futurs, ces messieurs de la ligue doivent aussi comprendre qu'il n'y a pas seulement des droits de l'homme à respecter mais que la SOCIETE a aussi des droits qui doivent être obligatoirement respectés, ces messieurs de la LTDH ne doivent pas toujours crier au loup dés qu'un semblant usage excessif de la force est employé pour arrêter des criminels, des dealers, des pyromanes aux cocktails Molotov,des saccageurs des biens publics et privés ,des racketteurs ,...... ces malfrats n'ont pas de place dans nos rues ,et on sait qu'on ne peut pas les arrêter avec des bouquets de roses à la main
j'apprécie beaucoup le comportement de Mr Mokhtar Trifi qui montre que cet homme a le sens du changement dans la démocratie. J'espère cependant que ces votes démocratiques ne soient pas à l'instar des élections faites à l'université où le contexte est tel qu'on choisit celui qui promet d'assurer à ces électeurs trois années de planque et de repos. L'élu va être au solde de sa base électorale. Si cette dernière est marquée par la paresse et la recherche de la rente, le vote démocratique ne conduit pas nécessairement au choix des plus performants.
