Démarrage ce samedi du Dialogue national en présence des trois présidents
Sauf coup de théâtre, le Dialogue national tant attendu démarre ce samedi 5 octobre à 9 heures au Palais des Congrès de Tunis en présence des trois présidents, des quatre parrains de l’initiative et des représentants de 26 partis.
La première partie de la séance inaugurale sera consacrée aux interventions des trois présidents et à celles du Quartet et des représentants de groupes de partis. A la suite de quoi, la séance se poursuivra à huis clos. Chaque parti y sera représenté par son chef et un accompagnant qui disposera des pleins pouvoirs pour prendre les décisions au nom de son parti en cas d’absence du premier responsable. Il y sera question des modalités opérationnelles du débat à la lumière desquelles il sera décidé du lancement du dialogue proprement dit qui pourrait intervenir dimanche ou lundi au plus tard, marquant ainsi le déclenchement des délais fixés par la feuille de route.
Le Dialogue aura à surmonter dès ses débuts l'épineuse question de la démission du gouvernement, les avis des deux camps étant diamétralement opposés. En comparaison, l'examen des autres questions ne devra pas poser de problème y compris le calendrier des travaux de l'ANC.
Liste des partis invités
- Parti Afek Tounes
- Parti Union Patriotique Libre
- Parti Alliance Démocratique
- Parti Courant Démocratique
- Parti Front National Tunisien
- Parti Al Jomhouri
- Parti Républicain Maghrébin
- Parti Populaire Progressiste
- Parti Troisième Alternative
- Parti Congrès Pour la République
- Parti Voie démocratique et sociale
- Parti Courant de l'amour
- Mouvement Nahdha
- Mouvement Nidaa Tounes
- Mouvement Tunisien pour la Liberté et la Dignité
- Mouvement de la République
- Mouvement des Démocrates Socialistes
- Mouvement Populaire
- Parti unifié des patriotes démocrates
- Mouvement du peuple
- Mouvement Wafa
- Parti El Amen
- Parti Al Iklaa
- Parti Forum Démocratique pour le Travail et les Libertés
- Parti des Ouvriers
- Parti l'initiative
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Environ 30 personnes autour d'une table, j'ai des doutes sur un tel scénario...pour arriver à une solution collective car je n'ose envisager un consensus. Mais il y a une feuille de route!
Je rentre de Gabes où j'ai constaté une évidente dynamique qui ne demande qu'à se concrétiser, socialement et économiquement. Le principal obstacle n'est elle pas d'abord une instabilité politique et juridique qui est d'abord d'essence culturelle au niveau de la classe politique ? Un problème culturel favorisé par un fonctionnement des plus hasardeux avec pas moins d'une trentaine de partis politiques (mais si ce fut pire), là où des différences idéologiques ne justifieraient que 4 à 5 partis maximum ?
Il est temps que chacun de ses dirigeants mete un peu d'eau dans son vin et briser les obstacles qui ont eux même crées sans se rendre conte qui étaient de paraliser non seulement le pays, de prendre en otage le peuple mais se paraliser eux même
