Opinions - 14.04.2011

L'outarde houbara

Pourquoi le président déchu a vendu aux émirs  saoudiens le sud tunisien

Dans sa fuite précipitée, le président déchu Zine El Abidine Ben Ali, s’est dirigé vers l’Arabie Saoudite où il a été accueilli à bras ouverts outarde houbara oblige !  En effet, son coup d’état médical accompli, Zine El Abiddine Ben Ali a autorisé les émirs saoudiens à venir enfin chasser l’outarde houbara en Tunisie dès février 1988.

Cette autorisation ne fut sûrement pas gratuite, le président déchu a dû recevoir des millions de dollars sur un compte à l’étranger, régulièrement alimenté.
L’auteur de ces lignes en sait quelque chose, lui qui, de 1977 à 1987, a été littéralement assiégé par les propositions de corruption. Tout y est passé : cadeaux de prix déposés chez moi par un sbire de l’émir XXX en visite à Tunis, immédiatement rapportés à la réception de l’hôtel Hilton avec un mot de remerciement, invitations à séjourner (avec ma famille) à Ryadh, à Paris dans un hôtel particulier avenue Foch, à Marbella (Espagne) dans une résidence d’été, offre d’une voiture : marque, modèle et lieu de livraison à ma convenance ; étant resté sourd à toutes ces tentations, ils ont fini par me proposer le versement de dollars sur un compte à l’étranger !. Directeur général de la sûreté nationale, le président déchu était au courant de toutes ces offres de corruption, il n’y a pas résisté au lendemain du coup d’état médical. C’est ainsi qu’à partir de novembre 1987, tout ce qui touche à l’outarde houbara est devenu " la chasse gardée " de Ben Ali, donc un sujet tabou dont personne ne voulait parler en Tunisie.

L’outarde houbara et son statut en Tunisie de l’indépendance à 1987. 

C’est un oiseau inféodé aux régions sahariennes, arides et semi arides, que l’on rencontrait depuis l’extrême Sud jusqu’aux plaines de Kairouan et aux nappes alfatières de Kasserine.
En 1806, le Docteur Franck, qui fut médecin du Bey, signale l’espèce parmi les oiseaux sauvages vendus sur le marché de Tunis. Haute sur pattes, de la taille d’un jeune dindon, l’outarde houbara est de couleur sable (ce qui facilite son camouflage). Ses beaux yeux noirs ont été chantés par les poètes à l’image de ceux des gazelles.
Cet oiseau figure, depuis l’indépendance sur la liste des espèces protégées (arrêté  annuel  du ministre de l’agriculture relatif à la chasse) en même temps que les 3 espèces de gazelles (gazelle dorcas, gazelle rim et gazelle de montagne). Cette protection intégrale a fait que la faune sauvage du Sud Tunisien a prospéré à telle enseigne que le guépard saharien, considéré comme une espèce disparue d’Afrique du Nord, est réapparu dans le Sud Tunisien au milieu des années 60. S’agissant de l’outarde houbara, alors qu’elle était intégralement protégée en Tunisie, les émirs de la péninsule arabique ont commencé par l’exterminer chez eux et dans les autres pays du moyen-orient avant de se diriger vers ses derniers retranchements d’Asie notamment au Pakistan, d’Afrique du Nord (Maroc, Algérie, Mauritanie) et des pays du sahel (Tchad, Niger, Mali).

Comment l’outarde houbara fut protégée sous le régime du président Habib Bourguiba.

Dès la création de l’ATPNE (Association Tunisienne de Protection de la Nature de l’Environnement) en 1970 et surtout après la création en 1975 de l’AAO (Association les amis des oiseaux), l’auteur de ces lignes s’est chargé du dossier outarde houbara. Une campagne de sensibilisation des pouvoirs publics fut entreprise : présidence de la république, premier ministère, ministère de l’agriculture.

En effet, les émirs saoudiens se sont adressés en 1977 à la première dame de Tunisie, Wassila Bourguiba, qui entretenait à l’époque d’excellents rapports avec les autorités d’Arabie Saoudite où elle était reçue comme une reine. Celle-ci a quand même pris la précaution de demander à Tahar Belkhoja alors ministre de l’intérieur, de se renseigner à ce sujet. Celui-ci  me contacta pour que je lui fournisse toutes les informations que je possédais à ce sujet, ce que je fis verbalement ensuite dans une note où j’insistais sur le fait que l’espèce était protégée en Tunisie depuis l’indépendance, qu’elle figurait sur les listes des espèces menacées dressées par les conventions internationales ratifiées par la Tunisie et que les émirs des pays du Golfe ont mis l’espèce au bord de l’extinction au Pakistan et au Maroc après l’avoir exterminée au Moyen-Orient et qu’ils veulent en faire de même en Tunisie. Ces arguments ont convaincu Wassila Bourguiba qui leur répondit par la négative.

Ce refus n’empêcha pas les saoudiens de continuer à exercer des pressions sur le gouvernement Tunisien.
C’est à partir de cette époque, que les saoudiens ont commencé à me harceler par leurs propositions de corruption, Habib Bourguiba Junior président de l’AAO leur ayant appris que j’étais personnellement en charge du dossier.

Tous les refus successifs ne les ont pas empêché cependant d’essayer quand même de chasser dans le Sud Tunisien c’est ainsi que :

-    En 1978, un équipage de fauconniers saoudiens, pénétrant en Tunisie par la frontière tuniso-lybienne s’est mis à chasser illégalement dans le gouvernorat de Médenine, alerté par mes soins, le ministre de l’agriculture Hassen Belkhoja appela au téléphone le gouverneur de Médenine et à celui-ci qui lui signalait qu’il s’agissait d’un grand émir, Si Hassen rétorqua : " Emir fi bladou ", il est émir chez lui, pas en Tunisie ; et l’émir plia bagage et alla chasser ailleurs. (Incident rapporté dans un article publié dans la presse du 3 Décembre 1981, en hommage à Hassen Belkhoja qui venait de disparaître).

-    En 1982, le ministre de l’intérieur (moyennant quoi ?) pris sur lui d’autoriser sans en avertir quiconque au gouvernement, une chasse à l’outarde houbara. L’association les amis des oiseaux est intervenue vigoureusement auprès du premier ministre, le ministre de l’intérieur fût rappelé à l’ordre et les saoudiens partirent encore une fois chasser ailleurs.

-    En novembre 1984, le même équipage se prévalant de l’autorisation de l’ex-ministre de l’intérieur a pris la route du Sud pour essayer de chasser. Alerté par mes soins, le directeur général de la sureté nationale (à l’époque le président déchu) donna des instructions pour que la garde nationale les escorte et les empêche de chasser. Ils ont dû alors se replier en Algérie. Par la suite plusieurs démarches ont été effectuées au niveau le plus élevé et à chaque fois la réponse fut négative. Mais, les choses vont totalement changer après le coup d’état médical de 1987.

Comment le Président déchu est à l’origine de l’extermination de la faune sauvage dans le Sud Tunisien ?

A partir de Février 1988, Zine El Abidine Ben Ali a pris sur lui d’autoriser les émirs saoudiens à venir chasser dans le Sud Tunisien, et, l’outarde houbara va devenir un sujet tabou en Tunisie " chasse gardée " du président. L’auteur de ces lignes peut affirmer, en toute modestie, avoir été le seul en Tunisie à rompre le silence et à interpeller régulièrement le président de la République. Ma première lettre date du 25 février 1988 ; une longue lettre où je rappelais les efforts déployés par la Tunisie depuis l’indépendance pour protéger sa faune sauvage et plus spécialement l’outarde houbara au sujet de laquelle les émirs saoudiens ont exercé au cours des quinze dernières années de très fortes pressions sur la Tunisie pour la chasser mais en vain. J’insistais sur le fait que le Sahara Tunisien, étant un mouchoir de poche, comparé aux immensités sahariennes algériennes et libyennes, les fauconniers saoudiens allaient vite en faire le tour opérant un véritable carnage d’outardes et de gazelles et ce d’autant plus que les deux espèces sont en pleine période de reproduction et qu’il est notoire que toute outarde qui échappe aux faucons est abattue aux fusils et que les gazelles sont coursées en véhicules 4x4 et tombent souvent victimes de crise cardiaque. Le moins que l’on puisse dire, c’est que ce comportement est tout à fait contraire aux préceptes coraniques que ces " serviteurs des lieux saints " prétendent défendre.

Début novembre  1988, deux équipages de fauconniers saoudiens se sont installés, l’un au sud d’Oum Echiah (gouvernorat de Gabès), l’autre au sud de Tataouine. Dans une lettre adressée au président le 15 novembre 1988, je signalais qu’en février – mars 1988, les saoudiens ont tué plus de 400 outardes (la population tunisienne était estimée à 1500) et plus de 300 gazelles et qu’à ce rythme, il ne restera plus grand chose en Tunisie, qui fut jusqu’en 1987 citée en exemple à travers le monde à telle enseigne qu’en 1979, la ligue internationale des droits de l’animal avait inscrit la Tunisie à son palmarès lui accordant solennellement une médaille remise à notre ambassadeur Paris, par le professeur Alfred Kastler, prix Nobel de physique " qui a rendu hommage au professeur tunisien Ali El Hili qui s’est distingué par ses travaux sur la protection des espèces animales ". A la suite de cette lettre, un membre du cabinet présidentiel entra en contact avec moi pour m’informer que le président avait annoté ma lettre : " 10 jours de chasse aux faucons sans utilisation de fusils " mais il s’est avéré par la suite que c’était un mensonge, car aucune instruction ne fut donnée sur le terrain et les saoudiens ont continué à ratisser les territoires des gouvernorats de Gabès, de Tozeur, de Kebili, de Médenine et de Tataouine en novembre – décembre et même en mars-avril en pleine période de reproduction comme le faisait régulièrement Naïef Ben Abdelaziz le ministre de l’intérieur à l’occasion de la réunion des ministres arabes de l’intérieur dont le siège fut installé, à cet effet, à Tunis. Une seule année de répit : l’année 1990 à l’occasion de la guerre du Golfe.

D’autre part, consciente de la duplicité et des mensonges du président, l’association les amis des oiseaux a entrepris à l’étranger des campagnes de dénonciation de ce qui se passait en Tunisie.

-    En Novembre  1991, une lettre de protestation,  rédigée en trois langues : Arabe, français et anglais fut envoyée, à travers le monde, à des associations nationales, régionales et internationales de protection de la nature en leur recommandant de l’envoyer au nom du président de la République au palais de Carthage. Beaucoup l’ont fait et le conseiller du président, chargé du courrier, me contacta pour me dire " nous avons reconnu ton style ".

-    En Janvier Février 1992, une équipe de l’AAO, accompagnée d’un ornithologue-caméraman suisse et  d’un journaliste allemand à suivi à la trace les camps laissés par les saoudiens. A propos de la logistique des camps, il faut signaler que les saoudiens amènent par bateau, à Sfax à la Goulette des centaines de véhicules : 4x4 climatisés, camions, camions-citernes pour l’eau et les carburants, groupes électrogènes etc…, ils ont ainsi, en plein désert, le chaud et le froid et les communications internationales ; tous ces matériels, y compris les fusils et les faucons sont illégalement introduits en Tunisie. Des instructions sont données à des contingents de l’armée nationale pour assurer leur sécurité ; seul le gouverneur des lieux peut leur rendre visite… et recevoir les cadeaux d’usage acceptés avec empressement. Du 6 au 9 Février 1992, cette équipe a pu se rendre sur deux emplacements de campement, le premier entre Bir Soltane et Ksar Ghilane, le second entre Ksar Ghilane et Borj Bouguiba. Les braconniers officiels saoudiens laissent à chaque fois derrière eux en plein désert une véritable décharge publique avec des détritus éparpillés sur des kilomètres : papier aluminium, cartons, sachets en plastique, pneus usagés, filtres à huile, traces de vidange de moteurs : tous les déchets et emballages proviennent de l’étranger car ces messieurs n’apportent rien à l’économie nationale, tout ce qu’ils consomment (en dehors des moutons) vient de l’étranger. Dans un coin de chaque camp, on trouve les trophées de chasse : plumes et pattes d’outardes, pattes de gazelles au milieu des pattes de moutons.

Le film tourné par le cameraman fut diffusé en avril 1992 par une chaîne satellitaire allemande à une heure de forte écoute et fit grand bruit notamment en Arabie Saoudite.

Au milieu des années 90, on peut considérer que l’outarde houbara et les gazelles sont au bord de l’extinction dans le Sud Tunisien et ce d’autant plus que des autorisations de chasse ont été accordées – sans doute par d’autres membres de la famille régnante – à des équipages du Qatar et du Koweit. Les saoudiens, quant à eux, ont continué à ratisser le Sud-Tunisien de novembre à mars.

L’auteur de ces lignes a continué à interpeller le président déchu à ce sujet à telle enseigne qu’il a eu le culot, en plein conseil des ministres, de sortir de sa poche ma lettre du 6 mars 1997 pour la lire et engueule les ministres de l’agriculture et de l’environnement alors que tous savaient pertinemment que c’était lui et lui seul qui accordait les autorisations. D’ailleurs, j’ai toujours pris soin d’envoyer aux ministres de l’agriculture et de l’environnement des copies de mes lettres adressées au président de la République, mais ces deux ministres m’ont toujours dit dans mes contacts avec eux : " Parlez-nous de tout sauf de l’outarde houbara ". Domaine réservé du président, l’outarde houbara est restée, 23 ans durant, un sujet tabou que personne n’avait le courage d’aborder : Le régime se prévalait de plus de 9.000 ONG (Organisations Non Gouvernementales) dont plus d’une centaine, ainsi qu’un parti " vert " étaient censés protéger l’environnement, mais l’écrasante majorité de ces ONG étaient une émanation du pouvoir ou du R.C.D. Il est d’ailleurs notoire que certains dirigeants d’ONG émargeaient au ministère de l’intérieur en tant " qu’istoufida " (indicateurs de police). S’agissant des médias, il y a eu une seule exception : un  article intitulé " Des princes du Golfe ratissent le Sahara Tunisien " publié par l’hebdomadaire le Maghreb  dans son numéro du 15 décembre 1989 sous la plume de Cherif Zaouch. Quant à moi, j’ai toujours été interdit de direct à la radio et à la télévision nationales de peur que je n’aborde le sujet de l’outarde houbara.

Pendant 23 ans, Zine El Abidine Ben Ali aura vendu le Sud-Tunisien aux émirs saoudiens mettant l’outarde houbara, les gazelles dorcas et les gazelles rim au bord de l’extinction. Il s’agit d’un acte criminel aussi grave que sa désertion en tant que commandant suprême des forces armées.

Ali El Hili
Fondateur de l’Association les Amis des Oiseaux
Professeur émérite à la Faculté des Sciences de Tunis




 

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56 Commentaires
Les Commentaires
chafai - 14-04-2011 18:42

Je tiens a vous remercier chalureusement Mr Ali elhili pour tout ce que vous avez fait et enduré pour la protection de notre faune et specialement L'outarde houbara, en tant que citoyen resident dans le sud ouest du pays et en connaissance de cause personnellemnt dès la fuite du president j'ai teni a contacter ben votre assiciation pour l'alerter de ce grave massacre via votre site web,surtout que des gens des emirs etaient encore sur place dans le sahara de la region de tozeur nefta, mais j'ai trouvé des difficultés a faire ce contact, et avant cette periode j'ai voulu contacter a ce sujet d'autres associations mais on ne trouve qu une adresse sur le web et pas de site ou je puisse ecrire mes reclamations.. je vous prie cher monsieur de faire valoir votre statut et vos connaissances de ces faits et alerter les instances internationales pour demandre des comptes et juger ces emirs et notre president dechu pour ce carnage environnemental..

Pr Mohsen Jeddi - 14-04-2011 19:09

Bravo, si Ali, pour cet article très exhaustif,rédigé comme un véritable article scientifique (ce qui n'est pas étonnant , venant de ta part) qui apporte des informations précieuses et précises qui en disent long sur la "culture" et le comportement criminel de notre ex Général--Président qui n'a épargné ni les humains ni les animaux!!

Walid Bouzgarou - 14-04-2011 19:19

C'est triste a lire, mais rien ne m'etonne plus de la part de cet ignare. Continuez votre lutte Mr Hili, j'aimerais tant pouvoir vous aider. Je vais dans les prochaines semaines prendre contact avec votre association & pourquoi pas y adherer....

Labed Monia - 14-04-2011 21:24

oh! comme j'ai de la peine de constater la cupidité humaine... du plus haut cadre de l'état de surcroit! et de c'est représentants supposés de la religion qui n'assument que fort peu notre si belle religion! Et comme j'admire Mr Ali Hili que j'ai connu comme prof et doyen à la Fac des Sciences de Tunis dans les années 80, à qui je rends hommage pour toutes ses actions et ses tentatives de préservations de notre patrimoine, de notre culture, de la science, de la nature mais surtout le courage d'avoir au moins essayer de tenir tête comme en témoigne cet article. Merci et bravo! Toute peine finit par être récompenser quand elle est juste, même si le prix à payer est fort cher...

Mustapha Chouikha - 14-04-2011 21:47

Je voulais aussi savoir concernant Zembra , qu'en est etait il avec le chinois et etait ce aussi une vente ?????

khlifi - 14-04-2011 22:04

Monsieur Hili votre combat vous honore et mérite notre respect et notre considération.Nous apprenons chaque jour des horreurs sur cet ancien Président qui fait honte à plus d'un d'entre nous.Celui qui a rédigé la déclaration de nov 1987 dans laquelle plus d'un tunisien a cru porte une lourde responsabilité pour avoir induit en erreur le peuple tunisien qui a accepté dans son ensemble le coup d'État au vu de cette dééclaration.Qu'attendez-vous Monsieur Hili pour déposer une plainte auprès des tribunaux?Ce crime contre les gazelles et l'outarde houbara viendra s'ajoutera à la liste, déjà longue, des crimes commis par cet individu.

hayet Dhifallah - 14-04-2011 23:22

Merci Monsieur El Hili, Je découvre avec horreur l'ampleur et la longévité de cette entreprise de destruction ! J'avais comme beaucoup découvert sur facebook un article sur la question en imaginant que c'était une monstruosité correspondant à une époque de fin de règne de ben ali ! c'est pire encore ! ces émirs de l'arabie heureuse et autre n'ont jamais cessé& d'avoir dans le colimateur nos espèces protégées et ils ont profité du règne de ben ali (qui a sûrement profité de l'opération) !!

Tijani TURKI - 15-04-2011 08:55

Bonjour si Ali Je suis l'un de vos étudiant à la faculté des sciences de Tunis. Je salue votre combat pour la faune Tunisienne . Je suis sûre que les documents que vous détenez à ce sujet penvent être la base d'une introduction en justice pour allourdir pour le dossier du président déchu qui a fait tant de male pour notre Tunisie . Dèjà comme vous l'avez bien signalé dans votre écrit : Il s’agit d’un acte criminel aussi grave que sa désertion en tant que commandant suprême des forces armées. Tijani TURKI

hasni - 15-04-2011 08:59

Merci pour cet article édifiant qui me permet de découvrir cette véritable catastrophe. J'aimerai savoir si il y a une chance, même infime, de sauver ces espèces et si oui comment.

sihem - 15-04-2011 09:42

article très intéressant . ben ali doit etre poursuivi en justice également pour cette atteinte aux espèces protégées . je me demande quel autre crime ce chef de bande n'a pas commis !

A.Tekaia - 15-04-2011 09:57

Exellent article de notre cher professeur el hili,sur la protection de notre faune nationale;on a toujours entendu des rumeurs sur ce genre de ratissage du sud par des emirs du golf,mais on ne pensait pas à l'époque que ce sabotage venait du sommet;maintenant qu'on sait un peu plus ,aucun domaine n'a été épargné du massacre;mais Prof el hili quel est le bilan de ces massacres collectifs: est-ce-que notre houbara nationale avec la gazelle tant chérie, a résisté en tant soit peu à ce génocide ? dans quelle proportion? ou bien ils n'ont laissé derrière eux que détritus et désolation ? Il va falloir, maintenant que la liberté nous est revenu ,que ces ONG se remettent au travail tranquillement pour sauvegarder ce qui en "restait" , le protéger et sensibiliser le citoyen de notre pays d'abord et le citoyen du monde ensuite sur l'importance de cette faune qui n'est qu'un maillon de cet équilibre millénaire entre faune et flore et sans lequel l'homme signe sa disparition;concernant la faune(terrestre et aquatique )et la flore dans notre pays il va falloir l'identifier et la comptabiliser après tant de massacres: la pêche intensive et la pollution de notre mer ,l'usage à outrance des pesticides par notre agriculture "moderne" ont fait disparaitre ou presque des variétés de poissons, la grenouille , crapaud , tant d'autres espèces d'oiseaux,escargot,insectes...Un autre spectacle aussi désolant qui se déroule sous nos yeux tous les jours au bord de l'autoroute tunis-sousse au niveau ain errahma (entre enfidha et bouficha),où les enfants et adultes présentent à la vente ,dans des conditions anormales,ce qui reste des très gentils caméléons de ce coin; si rien n'est fait d'ici peu, lui aussi est condamné à disparaitre à jamais de ce coin.Au cours de l'hiver de chaque année un autre spectacle aussi désolant sur nos rares lacs du nord (ichkeul) qui hébergent les oiseaux migrateurs pour un laps de temps,les oies sauvages sont massacrées par des braconniers et vendent leur butin au bord de la route tunis bizerte au niveau nahli.Du pain sur la planche pour nos ONG qui militent pour la protection de la nature et la sauvegarde de notre chères faune et flore nationale .Un pays qui se veut ouvert au tourisme , comme la tunisie ,ne peut rester qu'un pays de plage seulement mais aussi un pays de tourisme culturel (comme en afrique du sud,tanzanie...): vestiges de différentes époques et leur mise en valeur,la faune et la flore aprés leur protection ...toute cette richesse se trouve en plus dans des zones non côtières

Zarzissi - 15-04-2011 10:02

?? ??? ??? ??? ??? ????? Autant je félicite Pr. HILI pour son amour incontestée de la Tunisie et surtout de sa faune, autant je m'érige contre l'extermination systématique non seulement de la HOUBARA (il parait qu'elle a des vertus aphro. sic !) mais aussi de la gazelle emblème de notre Tunis-Air. Décidément, l'ex-président a fait du tort même à la nature !!! J'espère que l'on reprenne la protection et la préservation de notre faune.

Essahli - 15-04-2011 10:22

Cher Professeur Hilli, Quel bonheur que de vous retrouvez, égal à vous même, avec la même verve et le même engagement, tant d'années après... je me souviens encore de vos prises de position sur l'outarde et je suis heureuse qu'aujourd'hui nous puissions enfin lire de tels articles.

nahla - 15-04-2011 10:24

pauvre la tunisie, pendant 23ans, nul n'etait epargné, ni homme ni oiseaux ni animaux. esperons que l'avenir sera meilleurs. merci monsieur ali el hili pour votre inlassable combat.

nahla - 15-04-2011 10:26

Pauvre la tunisie, pendant 23ans, nul n'etait epargné, ni homme ni oiseaux ni animaux. esperons que l'avenir sera meilleur. merci monsieur ALI EL HILI pour votre inlassable combat.

Dr DJERIDI M. - 15-04-2011 10:26

SACRE SIDI ALI TOUJOURS INCORRUPTIBLE, lui qui a refusé le portefeuille de l'enseignement supérieur après le 26 janvier 1978. Je confirme ce qu'il a dit car au cours d'une réunion du club de chasse au gouvernorat de Gabès en 1989 ,il s'en est pris aux émirs malgré le courroux du gouverneur de l'époque Mr Naceur Gharbi.

robert poisson - 15-04-2011 11:08

Cher Ali, C'est avec émotion que je retrouve votre signature . Que de temps écoulé et quelle joie de vous savoir toujours sur la brèche, et au service des bonnes causes. . J'a eu la joie d'avoir des nouvelles de toute la famille par Myriam. À vous tous , ma vive affection RP. Je n'ai jamais pu vous joindre au téléphone . ..

Thamri - 15-04-2011 11:34

En tant que chasseur qui a pu une fois et accidentellement tué une Houbara du coté de Kairouan , je peux vous confirmer que c'est effectivement un crime que de laisser des quasi'analphabète permettre et chasser l'outarde qui devait ètre protégée tellement elle est d'une beauté rare ...!?

F.F - 15-04-2011 11:51

Voilà un oiseau rare comme Si EL HILI pour qui l'honneur, le respect et la responsabilité n'ont pas de prix en dollars. ce sont ces pratiques monétaires des riches incultes qui ont fait que les Mesieurs 'Ali El HILI soient en voie de disparition faisant place à des 'leila trabelsi' et des 'chine Ben Ali'...

hamida mounir - 15-04-2011 12:19

Heureusement pour NOTRE chère TUNISIE que le plus lache des tunisiens c'est évaporé avant mème de ne pouvoir vendre tout le PAYS à quiconque pour quelques poignées de dollars.

ben khelil moncef - 15-04-2011 17:44

bravo

MRABET Ismail - 15-04-2011 18:02

Merci bien Pr Hili. Je ne puis qu'une chose vous dire: Bravo. Lorsqu'on aime son pays, il en est diverses manières de le faire. La votre je la trouve tout aussi patriotique,sincère, brave qu'efficace et inscrite dans la durée. Puisse le clément et miséricordieux vous donner encore longue vie pour voir tous vos efforts enfin couronnés de succès, nos richesses sauvegardées et notre patrie à l'abri des incursions.

Ben Slimene Med Faouzi - 15-04-2011 18:21

Bravo Si Ali, on reconnait le tissu des vrais patriotes. J'ai lu l'article en entier malgré le manque de temps, c'est trés instructif mais c'est surtout déprimant et révoltant à la fois ! Notre chère Tunisie qui a vu de toutes les couleurs, va-t-elle en voir d'autres encore ? J'en appelle à cette nouvelle jeunesse "clean" pour nettoyer le sud tunisien de ces saletés d'émirs corrompus et pour doubler de vigilance pour qu'à l'avenir, personne ne puisse venir "brader" leur héritage !

Chahed mahmoud - 15-04-2011 18:30

Si Ali, je m'appelle Chahed(témoin en arabe)et je suis témoin de certaines de tes interventions à propos de l'outarde oubabara et notamment, je me rappelle du fameux rapport rouge que tu nous a présenté avant envoi à plusieurs ONG et instances administratives. Je te fais rappeler une des réponses des affaires étrangères où on nous a dit :" Le roi saoudien a autorisé notre président de toucher à la pierre noire de la Mecque, on ne peut lui refuser de chasser un simple oiseau saharien."C'est pourquoi cher ami , je te demande de poursuivre ZABA pour ce délit devant les tribunaux. Si tu s'es plus responsable ,tu peus toujours transmettre les preuves à qui de droit pour proceder à l'inculpation . Ca sera une première digne d'un écologiste tunisiens.

Mondher - 15-04-2011 19:53

notre cher pays a grand besoin de citoyens comme si Ali

Saïd - 15-04-2011 19:57

Bravo Si El Hili pour votre courage et votre endurance! Le journaliste Tawfik Ben Brik avait durant les "années de braises" osé dénoncer ce crime du dictateur .Il a payé une lourde facture. Le drame c'est qu'un peuple éduqué, policé, dépositaire d'une histoire millénaire a été gouverné par un être inculte, vénal, et vulgaire !

Tahar - 15-04-2011 21:12

@ Si Ali. J'ai appris plein de choses en vous lisant et beaucoup apprécié votre indignation, à laquelle je me joins. Cordialement, Tahar

yahiaoui - 16-04-2011 01:02

Pour être honnête, il faut reconnaître que le journaliste Taoufik Ben Briik a lui aussi écrit un article sur ce braconnage honteux et qu'il a reçu en contre partie les foudres de Zaba.

Ali Karrech - 16-04-2011 03:53

J'ai appris bcp de choses professeur. Ça fait mal au cœur de voir nos richesses pillées de cette façon !

Dr Farouk Ben Mansour - 16-04-2011 09:53

Un grand chapeau et mille Merci à mon maitre Pr Hili ( 1967, Rue Courbet, APEM )Encore un agissement vil et crimineeeeeel !!! A ajouter à la longue liste des crimes commis envers notre pays. Il est du devoir de l'association d'ester cette affaire en justice et de demander réparation du préjudice. Serait-il possible de recourir à un élevage artificiel de la " h'bara" avec des lâchers pour repeuplement du sud tunisien ? Que la réponse soit positive, je n'en serai qu'heureux !!

fadhoula - 16-04-2011 09:59

Merci beaucoup; Merci beaucoup !!! mais Messieurs qu'avez-vous fait pour les bracconnages pratiqués par les Tunisiens ? allez voir Moncef Bey chaque dimanche : est-ce que le chardonneret n'est pas protégé ? (d'ailleurs je n'en vois plus !!) et d'autres espèces que je ne sais nommer . Messieurs, sortez de vos villas de Gammarth, Hammamet,... et allez faire un tour du coté de Moncef Bey et merci ! la Patrie Reconnaissante

Dr DJERIDI M. - 16-04-2011 14:50

j'ai lu tous les commentaires et je m'étonne qu'aucun ne s'est posé la question: POURQUOI CES EMIRS CHASSENT LA HOUBARA ?? POUR SES PRETENDUES VERTUS APHRODISIAQUES BIEN SUR..! !

MANKAI - 16-04-2011 16:02

Scandaleux ! pourrons-nous réparer un jour tout le mal qu'a fait Zaba à la Tunisie ? Quelles mesures d'urgence doivent être prises ?

emna ben youssef - 16-04-2011 17:08

Donnez nous l’état des lieux. Que devons nous faire pour restituer notre patrimoine écologique unique?. Ne laissez pas impunis ces actes odieux . Je pense aussi que c'est tout simplement pour cela et bien d'autres raisons bien sales que l’Arabie saoudite dite " terre d'islam" ne nous rendra pas notre bien triste président déchu

Tiesto - 16-04-2011 21:05

Merci énormément pour cette article. Je suis tout a fait d'accord avec toi sur ce que vous venez d'écrire et j'ajoute encore que j'ai vécu la période où les Emir de Saoudi viennent pour chasser au sud Tunisien. En effet, j'avais 11 ans à cette époque et je vivais à Remada. L'équipage de l'Emir, atterrissait chaque mois de Mars à l'aeroport militaire de Remada avec deux gros avions bourrés de matériel (voitures, tentes, climatiseurs et surtout des aigle beaucoup d'aigles avec des truc sur leurs yeux). Ces aigles on nous disait c'était pour chasser la houbara au sud de Tunisie ! Le cortège était immense, on sortait tous de nos maison pour le voir passer. C'était un vrai spectacle malheureusement pour la mauvaise cause. J'espère que les responsables de ce massacre naturel vont être jugé sur leur acte et complicité !

Mounir BOUDALI - 16-04-2011 23:54

Ce n'est pas uniquement par voie de lettres que le Pr Ali Hili a mené le combat en faveur de la biodiversité tunisienne en général et de la préservation de l'Outarde houbara en particulier, non, c'est de vive voix aussi qu'il a milité. Dans certaines conférences internationales à caractère environnemental et de développement durable, comme au sommet du djebel Haouaria lors de l'observation de la migration des oiseaux, le ton du Pr Hili a toujours été haut, fort et déterminé. Son courage et son franc-parler émerveillait les uns et indisposait les autres. Tous savaient bien que l'Outarde était un sujet tabou en Tunisie, mais peu osaient le fendre. De manière générale, l'environnement en Tunisie est un grand dossier à devoir instruire.

Mohamed Al Amine Louhaichi - 17-04-2011 05:13

Merci beaucoup Professeur ALI HILI pour votre vigilance. Nous avons besoins d'Homme comme vous pour défendre notre chère pays La TUNISIE. Vous étiez toujours à la hauteur des Grands Hommes de la Tunisie, qui défend en cachette (au grand publique) notre environnement et notre beau Pays .

T.ROUIS - 17-04-2011 08:38

Dire que chaque année nos pélerins et Mo3tamirines leures versent des millions de dollars pour qu'ils viennent ensuite nous massacrer notre faune!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

rejaibi essia - 17-04-2011 08:49

c'est extraordinaire ce que je lis tous les jours on apprends quelque chose de nouveau sur ce traitre ....

Khaled GUETTARI - 17-04-2011 08:55

Bonjour . Merci de nous avoir fait part bien que vous n'avez hésité à dénoncer ce crime. Il est de se constituer en partie civile pour intender un procès en justice. Les ong s tunisiennes oeuvrant dans la nature et sa préservation auront du pain sur la planche. D'autres injustices continuent en Tunisie et la pauvre nature en souffre. Des pétitions et de manifestations sont urgentes en ce sens . Amitiés

Abdelaziz Baccari - 17-04-2011 09:42

Le traitre du coup d'état médical a maintenant 18 accusations du tribunal,AAO doit porter plainte pour un 19° chef d'accusation: crime contre le monde animal ...et bravo si Ali pour votre militantisme pour la défense de notre faune et je comprends maitenant pourquoi il s'est réfugié en Arabie Saoudite facilement

Dr Foued Maazoun - 17-04-2011 10:33

Il faut bien préciser que ce magnifique oiseau est victime de ses soi disant vertus aphrodisiaques. Gavés de Viagra ,ces émirs n'ont rien trouvé de mieux que de s'en prendre à nos malheureux volatiles. J'ai vu un de leurs campements il y a quelques années a Tozeur... Toute une armada de 4*4 de Hummers et un Boeing prêt à décoller pour ramener en Arabie la précieuse Houbara pour" réchauffer le sang d'un émir impuissant". J'en éprouve encore de la nausée.

Lazhar Abaab - 17-04-2011 17:03

Bravo Si Ali pour cet article comme d'habitude, profond et sans ménage pour les destructeurs de notre cher pays. De ma part j'apporte un modeste témoigne en plus de l'extermination de la faune de notre pays par ces Emirs qui ne respectent rien devant leurs envies ridicules avec la complicité du pouvoir mafieux de BEN ALI, je cite deux anecdotes synonyme du niveau intellectuel de ces gens, selon un agent de Douane de l'aéroport de Djerba un emir de Qatar est arrivé pour un voyage de chasse avec un armada de serviteurs parmi eux un chargé de l'encens (???? ) de l'Emir avec deux grosses caisse pleine de Bkhour!!!!! A son départ il a jeté des tonnes de nourritures dans la poubelle, sans aucune pensée pour les populations déshérite du pays!!!!!!

Catherine Develotte - 17-04-2011 18:30

@chafai Voici comment contacter "Les Amis des Oiseaux" : Association « Les Amis des Oiseaux » (AAO) Adresse : Ariana Center, Bureau C 208/209, 2080 Ariana, TUNISIE Tél./Fax : +216 71 717 860 E-mail : aao@topnet.tn et aao.org@gmail.com . Site web : www.aao.org.tn Merci pour cet article de la haute culture tunisienne qui aura droit de cité, je l'espère,plus qu'en ces derniers vingt-tois ans. La Tunisie et les tunisiens le méritent !

esma - 18-04-2011 09:34

Merci infiniment Dr pour ce papier vraiment votre parcours à la défense de l'outarde houbaras fait chauffer le coeur , merci bien pour votre perséverance et que La justice puisse prendre part de ce criminel et que Allah y7asibhom ces Emir ...... , "shame on them " car la Tunisie mérite bien une protection de la part de tous les citoyens , grand et petit , intellectuel ,ouvrier , ......., merci docteur une nouvelle fois ,

Amine ATTIA - 18-04-2011 12:08

Mais, quel est l'etat des lieux actuel en ce qui concerne l’outarde houbara et la gazelle dorcas, gazelle rim et gazelle de montagne ou du guépard saharien. Ces especes existnt elles encore en Tunisie? ailleurs dans le sahara? Peut on les re-introduire? Merci de repondre!

sihemNajah - 18-04-2011 12:31

Merci infiniment Dr pour ce papier vraiment votre parcours à la défense de l'outarde houbaras fait chauffer le cœur , merci bien pour votre persévérance et que La justice puisse prendre part de ce criminel et de ses intentions. nous votons pour que justice soit rendue !!

ACHOUCH FETHI - 18-04-2011 13:01

Pouvez vous svp nous donner l'état des lieux de ces deux espèces massacrés par des émirs sans scrupule avec la bénédiction d'un président inculte et de subordonnés laches. Quel est le role de l'IRA Medenine dans cette histoire pendant les 23 ans de ZABA et maintenent?

Zine El Abidine - 18-04-2011 14:17

Pr Ali HILI? j'étais etudiant quand vous etiez Doyen de la fac des sciences à Tunis et je vous admire pour votre courage et votre détermination. Qui osait dans le temps embarquer dans son AMI 8 etudiants protestataires pour les faire sortir du siège du Campus. 1000 BRAVOS

mighri mohsen - 18-04-2011 20:30

à vrai dire il est rare de lire des articles aussi clairs et net que cet article mais quand on connait l'auteur il est de nature de l'admirer. j'étais officier à l'armée et j'ai eu l'occasion de visiter l'un de ces camps et voir de prés l'atrocité de ces gens

lamouri yassine - 18-04-2011 21:31

Grand merci pour éclaircir une part de la vérité des saoudiens qui ont "accueilli l'ex dictateur par respect de principes religieux" Que de mensonges ! bonne continuation pour ce que vous faites .

Baroudi Mohamed - 26-04-2011 15:30

Si Ali, encore bravo. Cependant le sud tunisien continue à être pillé par des tunisiens. Oui des tunisiens carnivores et avides de sang humain, faute de ne pas pouvoir en trouver, ils tirent sur les gazelles et les outardes. Mes amitiés Mes amitiés

Marcello GRUSSU - 30-04-2011 09:31

Bravo Dr Hili, splendido e preciso resoconto sull'attività di questi Criminali della Natura e dei loro complici locali. Marcello Grussu Sardinian Ornithological Group, Italy

mamoun ridha - 15-05-2011 12:42

pourquoi il n'a rien dit sur ce que les qatariens fond a Tozeur pour promouvoir el hobara OU NON

zeineb Ben-Hamida - 15-05-2011 23:01

Merci et bravo Si Ali . Je me rappelle de vous et j'aimerais bien que toute la Tunisie se rappellerais de vous et de votre travail et de votre détermination pour sauvegarder la faune et l'environnement en général .

Hichem Azafzaf - 16-05-2011 07:03

L’Association "Les Amis des Oiseaux" a organisé du 5 au 8 février 2004 à Tunis le 1er atelier régional pour l’élaboration d’un plan d’action relatif à l’espèce nord-africaine de l’Outarde houbara Chlamydotis undulata undulata. Le projet a invité 29 participants dont un représentant gouvernemental et un représentant d’un organisme non gouvernemental des 5 pays concernés (Mauritanie, Maroc, Algérie, Tunisie, Libye et Egypte) et d’autres experts. Sur la base des discussions et des recommandations émanant de cette réunion, un plan d’action a été élaboré en 2005. Pour plus d’information http://www.aao.org.tn/index.php?option=com_content&view=article&id=87&Itemid=134

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