News - 21.07.2014

Où sont passés les «cheikhs» Khémaies Mejeri, Adel Almi et Béchir Ben Hassen ?

Où sont passés les gourous des salafistes tunisiens? Hier coqueluches des médias, les Khamis El Mejri, Béchir Belhassen ou Adel Almi ont disparu des plateaux de télévision et des colonnes de journaux. A défaut d’être perspicaces, «nos Cheikhs» savent faire profil bas quand ils sont pris en flagrant délit de mensonge.

Il est vrai que toutes les contorsions intellectuelles du monde ne suffiraient pas à expliquer et encore moins à justifier ce qui se passe aujourd'hui au Chaambi et ailleurs. Comment par exemple ces agressions entreraient-elles dans votre thèse sur "nos enfants, les jihadistes" dont le souci majeur est de soigner leur cholestérol. Cessez de prendre les enfants du bon dieu pour  des canards sauvages. Vous  nous devez  aujourd'hui des explications :qu'avez-vous fait de notre jeunesse ? Qu'avez-vous de nos enfants?

Tags : Adel Almi   B   Tunisie  
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6 Commentaires
Les Commentaires
Citoyen - 22-07-2014 07:33

Ces trois ennemis de la république ,comme d'autres ,devraient être internés ,pour le bien de tous .

Sahim JAAFAR - 22-07-2014 07:46

Béchir BELHASSEN se trouve durant tout le mois de Ramadhan sur Al Insen TV.

ridha L - 22-07-2014 10:19

L’adversité tel un vent furieux, nous empêche d’aller ou nous voulons, nous dépouille et nous laisse face à nous-mêmes tels que nous sommes, et tels que nous pensions être. ils ne sont pas invités, c'est simple, suite à la demande de Mme Saloua, directrice de l'institut du journalisme. et même quand ils étaient invités,les débats étaient toujours canalisés vers des insultes et des propos à la limite de la politesse. Aucun argument rationnel, aucune explication mesurée, aucun avis critique, Lorsque l’on se rend compte que l’adversaire surtout l'islamiste est supérieur et leur ôte toute raison, il faut alors devenir personnel, insultant, malpoli. Cela consiste à passer du sujet de la dispute (que l’on a perdue), au débateur lui-même en attaquant sa personne. malheureusement cela ne fait qu'attiser les rancunes, et surtout que cela ne fera que ranger le peuple du coté du plus faible, surtout contre les médias; rappelez vous le scrutin du 23 oct. n'avez vous pas appris la leçon?

ridha L - 22-07-2014 10:29

C´est un signe de bonne santé que d´écouter ces cheikhs,et il y en aura toujours d´autres, le contraire serait surprenant dans une démocratie. D´aucun avait dit que quand l´homme commence à jeter des mots au lieu de jeter des pierres, c’est qu’il est devenu civilisé.

Observateur - 22-07-2014 21:25

Il y a salafiste et salafiste. Il ne faut pas tomber dans le piège des amalgames. Je ne suis personnellement pas d'accord avec les trois Cheiks, mais je défendrais volontiers leur droit de s'exprimer librement tant que leurs actions d'incrivent dans le cadre des libertés garanties par la constitution. D'appeler à l'internement de ceux avec lesquels nous ne sommes pas d'accord (voir commentaire de Citoyen) est tout simplement anti-démocratique et liberticide. Certains Tunisiens, y compris certains journalistes, ne l'ont pas encore compris. Je vais leur donner le bénéfice du doute en disant qu'ils sont encore en apprentissage.

RZOUGA - 23-07-2014 12:03

Mais d'où est ce qu'ils ont usurpé le titre de cheikh? et on continuent de les appeler par cheikh. Ben hassen après son intermède de geôle française s'est terré à m'saken en attendant le moment propice pour rebondir en terrorisant les citoyens avec leur langage, leur physionomie et en lavant les cerveaux naïfs pour les mettre en avant dans leurs manifestations.

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