News - 08.02.2012

Le forcing de Béji Caïd Essebi pour faire aboutir son projet de grand parti

Après Nessma et tout récemment France 24, M. Béji Caïd Essebsi sera ce jeudi  à partir de 20h 30, l’invité de l’émission, « Ma wara’ el hadath » (Au-delà de l’évènement) sur El Watanya Il. Si Béji nous avait bien avertis. Un homme politique n’a pas droit à la retraite. Le voici donc de nouveau sur le devant de la scène avec son « Appel à l’opinion publique ».

A maintes reprises BCE avait exprimé son inquiétude face à la dégradation de la situation économique et sociale, la montée de la violence mais aussi le triste spectacle qu’offre l’ANC aux Tunisiens et qui n'a pas peu contribué à cette crise de confiance entre le pays légal et le pays réel. Quel que soit le jugement qu’on peut porter sur son action, on ne peut nier le mérite qui a été le sien d’avoir su mener le pays à bon port pendant la phase de transition. S’il a pris cette initiative aujourd’hui, c’est parce que, sans doute, il se sent, quelque part, responsable, même s’il n’est plus aux affaires, de la réussite de tout le processus qui doit conduire, dans un an, à l’élaboration d’une nouvelle constitution et à la mise en place d’institutions démocratiques.C’est pourquoi, il s'est permis de rappeler les constituants aux tâches prioritaires pour laquelle ils ont été élus :

• La nécessité pour l’Assemblée nationale constituante de fixer officiellement et clairement la durée de son mandat et celui du gouvernement qui en émane à une année seulement et de commencer immédiatement et dans ce qui reste de cette période, à préparer la Constitution et organiser les élections, dans un délai ne devant pas excéder le 23 octobre 2012, dans le cadre d’une feuille de route claire, comme cela fut le cas lors de la première phase de transition.
•  Réactiver l’Instance Supérieure Indépendante pour les Elections (ISIE), en lui permettant de reprendre ses activités immédiatement, à commencer par la finalisation de l’inscription des électeurs, la préparation des prochaines élections, la promulgation d’une nouvelle loi électorale.

Dans le même temps, Si Béji appelle les « parties politiques et intellectuelles tunisiennes qui rejettent l’extrémisme et la violence à rassembler leurs forces morales et matérielles autour d’une alternative capable de renforcer l’équilibre politique dans le pays ». BCE a été effrayé par l’atomisation des partis et son corollaire obligé, la dispersion des voix (1,5 million) dont finalement aucun parti n’a profité. A ce niveau aussi, les risques de dérives sont patents. L’existence d’un parti dominant, même élu démocratiquement peut conduire à la dictature.

Il a dû en coûter à Béji Caïd Essebsi de faire cette démarche, compte tenu des passions exacerbées des uns et des susceptibilités des autres. Mais les tentatives de fusion ou de regroupement des partis n’ayant eu jusqu’ici qu’un succès relatif, il est normal que l’un des très rares hommes politiques tunisiens à avoir une stature d’homme d’Etat réagisse, qu’il prenne sur lui de créer une force politique capable de tenir la dragée haute face à Ennahdha. Jusqu'ici, ses différentes interventions n'ont pas, de toute évidence, suscité le sursaut que l'ancien premier ministre attendait. Pas de réactions enthousiastes, ni d'hostilité farouche, même de la part d'Ennahdha qui s'est  fendue d'un communiqué un peu tiède comme si elle n'était pas concernée. Ce n'est pas encore de l'indifférence, mais on n'en est pas très loin. D'où le forcing de si Béji. Car son projet ne se limite pas à fonder un  parti de cadres qui viendrait s'ajouter aux 119 existants. Mais à l'image du RPF du général de Gaulle en 1951, il s'agit de créer en quelques mois, un mouvement populaire qui ne se limitera pas au grand Tunis, mais couvrira le pays dans sa totalité. D'où ses mutiples interventions à la télé, au risque de se répéter à chacune de ses apparitions, et finalement de lasser.  Pour convaincre, il devra sans doute affiner son discours, expliquer davantage les tenants et aboutissants de son projet et le rôle qu'il compte y jouer. Pour le moment, on est sûr d'une chose au moins. Il saura résister aux tentations bonapartistes que lui prêtent ses ennemis. Ce n'est pas à son âge qu'on commence une carrière de dictateur

Hédi Bèhi

 

 

Tags : B  
Vous aimez cet article ? partagez-le avec vos amis ! Abonnez-vous
commenter cet article
24 Commentaires
Les Commentaires
Hatem - 09-02-2012 02:10

Je viens du Sud, plus précisément de Gabès et je peux vous assurer que votre essebsi n'aura absolument aucune chance pour le futur. Cet ancien de Bourguiba, "père" de la torture et de la dictature et du culte de la personnalité au point d'engendrer une médiocrité généralisé de tout un peuple, n'a plus de place. La sienne sera bien au chaud à Borj Erroumi, un endroit qu'il doit le connaître parfaitement! C'est vraiment fini là et place maintenant à la justice.

Adel - 09-02-2012 04:42

mais c'est lui le responsable de la degradation de la situation economique et sociale leader aussi les pro benali c'est claire que vous appartenez a l'equipe 0.000 et tout le monde d'ailleur vous a decouvert

MOLIDE - 09-02-2012 06:39

BRAVO ET COURAGE C EST LE SEUL MOYEN DE SAUVER LA TUNISIE DE LA DICTATURE ISLAMISTE ET DE REDONNER ESPOIR AUX DÉMOCRATES

Kamel Hamzaoui - 09-02-2012 08:14

Je suis très heureux de voir le retour de Monsieur BCE. Un homme ayant pour seule ambition: l'amour pour son pays. Il peut dire les choses dans leur contextes et ressembler les foules et rendre aux tunisiens leur moral.

taieb - 09-02-2012 08:44

Renouveler la vie politique avec l'ancienne garde reste toujours sujet à caution;le projet de Mr Caid ESSEBSI fera t il un cas d'école ou rééditera le mythe de Sisyphe?

Jean Pierre Ryf - 09-02-2012 08:57

Je salue ces initiatives de M. Beji Cassebsi le seul homme politique ayant un charisme et une stature au dessus du lot. A ceux qui le critiquent et le renvoient a son passé auprès de Bourguiba je ne saurai mieux faire que de les inviter a lire ce texte paru dans le blog d'un de mes amis. http://latroisiemerepubliquetunisienne.blogspot.com/2012/02/les-hommes-politiques-prisonniers-de_08.html Je rajouterai que cette union est d'autant plus nécéssaire que Nadha se trouve dans une impasse politique. Elle ne pourra pas satisfaire les salafistes et ils le disent déjà dans des documents et il ne pourra pas non plus satisfaire les progressistes en raison de son inaction contre les salafistes qui sont son soutien. Le parti Nadha ne satisfera donc personne... et c'est le résultat de son double langage permanent et de son ambiguïté . Alors oui l'union et la création d'un grand parti est vitale.

sahloul Essoussi - 09-02-2012 09:24

Les forces démocratiques que Caied Essebsi tente de rassembler doivent avoir un discours politique cohérent et s'approprier l'Islam comme une donnée de base de la personnalité Tunisienne; il ne faut surtout pas pas laisser aux forces obscurantistes l'exclusivité de défendre la composante arabo-musulmane de l'identité Tunisienne

mouwaten tounsi - 09-02-2012 09:43

Article qui manque vraiment d'impartialité... Qu'il ait mené son pays à bon port durant la période de transition, ça reste à prouver.. Entre toutes les promesses faites en interne qui sont irréalisables, et ses appels déguisés aux tunisiens à continuer les sit-in, cet homme prouve qu'il ne cherche pas le bien de son pays. Enfin, "Ce n'est pas à son âge qu'on commence une carrière de dictateur", mais à son age on peut quand même garder une avidité du pouvoir, avidité qui permet aux dictateurs de son age de ne pas vouloir lacher le pouvoir justement (des dizaines d'exemples dans le monde..)

Mhamed Hassine Fantar - 09-02-2012 10:08

Dans l'un de mes commentaires sur les colonnes de Leaders, je me suis permis d'attribuer à monsieur le Premier ministre Béji Caïd Essebsi le titre de combattant suprême de la Révolution.En l'écoutant, on sent qu'il està l'instar de Bourguiba, ambitieux pour la patrie et non pour lui-meme.Aujourd'hui, La Tunisie a besoin de lui pour la guider et réaliser les potentialités de la révolution tout en restant toujours Néo.Ya si El Béji, prenez la barre!et conduisez la barque au havre de la paix,la liberté,l'égalité, et la solidarité, la sécurité, la démocratie et la prospérité pour tous.

Noury - 09-02-2012 10:43

Comment ne pas reconnaître les compétences et les mérites d’un tel homme ? Comment ignorer ses prises de position et ses décisions qui ont conduit le pays en si peu de temps à des élections en toute transparence, même si le résultat a été une énorme surprise, voir un coup de massue, pour tous les tunisiens qui aspirent à une démocratie digne du 21ème siècle ? - Il semble que la coalition actuelle prenne le chemin d’un régime parlementaire dans lequel le Président est élu par le Parlement et partage les pouvoirs avec le Chef de Gouvernement, comme c’est le cas de la formation actuelle. Ceci oblige BCS à appartenir à un parti pour espérer arriver à l’un des postes suprêmes que sont celui de Chef de Gouvernement ou de Président de la République. - Je suis convaincu que si un régime présidentiel était retenu, BCS serait élu au premier tour à une grande majorité des suffrages, en supposant bien sur que tous les tunisiens participeront au vote, pour ne pas tomber dans le même piège que les dernières élections. - Fonder un parti maintenant, OUI, c’est encore possible, ne pas le faire serait une énorme perte pour la Tunisie et l’histoire le prouvera. - Pour mieux le réussir, il faudrait que BCS s’affiche avec un Dauphin de confiance désigné et parrainé par lui-même. - En effet, compte tenu de son âge avancé, beaucoup de tunisiens ont peur de dupliquer l’expérience des dernières années de Bourguiba qui a été son mentor et influence encore sa conduite au quotidien. - Si El Béji, nous sommes nombreux à attendre ce moment pour vous accorder notre support afin de mettre la Tunisie sur les bons rails, ce qui loin d’être le cas en ce moment.

drmohamedsellam - 09-02-2012 11:33

Un Parti pour BCE C'est le Parti de tous les tunisiens..Tous les patriotes ,férus d'amour pour leur Tunisie,doivent se rallier en masse à ce Parti,qui sera le réceptacle de tous les amis qui oeuvreront inlassablement pour la gloire et le bien-être de notre Tunisie.

Ettounsi - 09-02-2012 11:57

A mon avis, il se retirera de la scène seulement si : - il meurt de vieillesse - il est hospitalisé pour son âge - il est condamné à la prison pour ses actes des années soixante ! sinon, on est obligé de le supporter et le subir encore ;;;

RBarnat - 09-02-2012 13:42

Si Béji nous avait bien avertis. Un homme politique n’a pas droit à la retraite. Et il a tout à fait raison, d'autant que certains partis islamistes n'ont d'autres programmes à proposer aux tunisiens, que de déconstruire ce que Bourguiba et ses hommes avaient patiemment construit. Qui dés lors mieux qu'un tel homme pour préserver ces acquis auxquels beaucoup de tunisiens sont attachés. Les tentatives de fusion ou de regroupement des partis n’ayant eu jusqu’ici qu’un succès relatif, il est normal que l’un des très rares hommes politiques tunisiens à avoir une stature d’homme d’Etat réagisse, pour créer une force politique capable de tenir la dragée haute face à Ennahdha. Que les grincheux se rassurent, il saura résister aux tentations bonapartistes que lui prêtent ses ennemis. Ce n'est pas à son âge qu'on commence une carrière de dictateur ! Il est assez intelligent pour savoir que rien ne sera comma avant et qu’il faut compter avec la volonté de liberté des Tunisiens. Il faut donc que tous les progressistes, les déçus des partis qui ont formé la troïka, ceux qui ne veulent pas voir le pays régresser avec Ennahdha, le rejoignent dans cette effort d’unité absolument vital pour le pays. Que ceux qui sont tentés de le critiquer et de le renvoyer à son passé, se rendent compte qu’il est le seul actuellement bénéficiant d’un charisme et d’une stature suffisante et que, compte tenu de son âge, il n’assurera que ce passage essentiel vers la démocratie et vers le nouveau régime, c'est-à-dire jusqu’aux prochaines élections. Cela donnera aux nouveaux leaders qui sont apparus sur la scène politique, mais dont le rayonnement et l’expérience sont encore limitées, de se développer, de « mûrir » et de grandir pour assurer la relève.

alia - 09-02-2012 13:59

il a du courange mais pour endiguer la monopolisation du pouvoir par un nouveau parti unique il faut sillonner le pays expliquer et encore expliquer d' ou la nécessité pour la constellation de parti de s'unir il y va de leur survie et de la démocratie.presenter un programme économique et idéologique car c 'est aussi sur les idées d 'abord que les batailles se gagnent.j' incite la gauche a lire le dernier livre de michel onfray sur la gauche que préconisait albert camus

Halim - 09-02-2012 14:58

BCE veut tout simplement dénuder les pratiques hypocrites de la Troika... Ennahdha and Co. demandait toujours l'éviction de Habib Essid, parlait toujours de combines et encourageait les sit-in un peu partout...Une fois au pouvoir, ils ont laissé Essid, ils parlent de complots et se plaignent des sit-in...Ennahdha = Islam, Ennahdha =ya3rfou rabbi a fonctionné le 23/10 mais seules les débiles la croiront la prochaine fois...En plus, on ne pardonnera jamais Ennahdha (Ettakattol et le CPR aussi)pour avoir laisser ses cousins salafistes terroristes jouer comme ils veulent sans appliquer la loi!!!

NJOUBA - 09-02-2012 16:47

Les dinosaures ont déjà disparu de la planète et Si El Béji est toujours encore là ! Est-ce que la Tunisie n’a pas suffisamment de compétences pour diriger ses affaires politiques et économiques?? Faut-il alors faire réveiller le combattant suprême de sa tombe pour sauver la Tunisie se trouvant pourtant et Dieu merci, entre des mains propres, depuis les élections du 23 octobre 2012 ?? Où s’agit-il alors d’un simple acte de désespoir de la part d’un éternel dinosaure politique visant à réparer la débâcle des nombreux perdants des élections??? Le peuple tunisien n’est pas dupe ! Il a déjà fait son bon choix !!!! Pour ce qui est de Si El Béji et sans vouloir minimiser ses qualités et sa compétence d’un haut commis de l’Etat propre et intègre, il est grand temps pour qu’il se retire définitivement de la vie politique pour une retraite bien méritée. L’AGE doit être respecté ! Si on ne le respecte pas, on risque de terminer sa carrière politique en queue de poisson, comme ce fût le cas pour Bourguiba, le grand homme politique et le père de la Nation !!! Ce serait bien dommage, Si El Béji, car vous mériteriez mieux !

candide - 09-02-2012 17:06

Dans la Tunisie actuelle, complètement désorganisée et abusée par de belles paroles, la seule solution face à Ennahdha, me semble être le parti unique. Quand on veut quelque chose, une Tunisie démocratique qui soit aussi "religieusement modérée", car l'un peut aller avec l'autre, il faut s'en donner les moyens. Arrêtons de rêver, la réalité est en face de nous, il faut que ça change et nous en avons les moyens. Le radicalisme religieux est voulu et entretenu par les puissances pétrolières, car trop de démocratie et de liberté accordées aux peuples arabes, ne pourrait que nuire aux pouvoirs établis dans les émirats. Il faut le savoir et le comprendre pour réagir tant qu'il est encore temps de le faire. C'est pour cela que je suis de du coté de BCE. C'est un "vieux baroudeur" avec tout le respect que j'ai pour lui, et sa clairvoyance ne peut être que salutaire pour la Tunisie. Il fait en avoir conscience, c'est le peuple qui détient "TOUS LES POUVOIRS" dont le plus important, celui des urnes. Sachons l'utiliser judicieusement, car l'avenir de la Tunisie, mais aussi le notre, en dépendent. Il est indéniable que BCE, avec ses conseils et ses prises de position ne fera pas que des heureux, n'est ce pas Adel, n'est pas Hatem ? Il serait totalement illusoire de croire que BCE, vu son âge, vise à la magistrature suprême, celle de président. C'est pour cette raison qu'il faut tous être de son coté et l'aider à mettre ses idées en forme. Quel beau destin que le sien maintenant, de mettre son savoir et son expérience au service de son pays, afin de redonner espoir au 80% des tunisiens qui n'ont pas votés pour Ennhadha associés à ceux qui n'ont pas votés du tout. Ce n'est pas avec une majorité égale à 20% que l'on peut démocratiquement espérer diriger la totalité d'un pays comme la Tunisie. Le pouvoir est entre nos mains, il est notre avenir.

DIDOUNETOUF - 09-02-2012 17:38

Monsieur Béji Caïd Essebsi,il est grand temps de créer votre parti, ou s'allier à des partis qui sont proche de votre conviction, et surtout qui réfléchissent avant d'agir pour le bien de la Tunisie. il y a plus beaucoup des Tunisiens qui sont favorables à votre politique.

DIDOUNETOUF - 09-02-2012 18:08

Vous savez l'équipe qui nous gouverne est gentille, mais je pense qu'il leur manque de l'expérience et de l'audace, il ne faut pas des mois et des mois pour montrer aux Tunisiens que le gouvernement travaille, les gens veulent du concret, ils veulent voir les usines pousser comme des champignons, voir la construction des routes et des autoroutes, la construction des logements sociaux pour ceux qui vivent dans des gourbis, installer l'eau et l'électricité chez les dépourvus de ce genre d'équipement, et surtout aider les gens les plus démunies dans notre pays, il est inhumain que des gens vivent avec moins de 100 dinars par mois, vous allez me dire que les caisses de l'état sont vides, alors li faut faire appel à des pays qui sont en mesure d'aider la Tunisie, surtout quant il s'agit d'une raison humanitaire. au travail Messieurs les responsables,et quand les Tunisiens voient tout çà la paix sociale revient, et si l'économie du pays tourne à plein régime, nous pourrons rembourser les dettes, si vraiment il y a des dettes, car à ma connaissance la Tunisie est riche et surtout riche avec sa jeunesse. .

adel manai - 09-02-2012 18:59

BCE a tellement vecu sous l'ombre de Bourguiba qu'il garde encore des sequelles. Il ne represente pas un projet, une tendance. Il n'a pas l'etoffe. IL a l'experience, la parole facile, mas pas de vision. Il est a l'aise parce que a son age il n'a rien a perdre et peut se permettre beaucoup de choses y compris et surtout critiquer tout le monde. En plus, diriger un gouvernement de transition n'a rien a voir avec la direction d'un gouvernement issu des urnes. On n'a plus de responsabilite parce qu'on sait que les electeurs guettent tout ce que nous faisons. Mon conseil a BCE: laisses tomber.

MOLIDE - 09-02-2012 19:59

LA TORTURE BOURGUIBISTE C EST DU GATEAU A COTE DE LA TORTURE ISLAMISTE VOUS ALLEZ VOUS EN RENDRE COMPTE ASSEZ VITE

Monia - 09-02-2012 23:48

Le discours de Mr BCE tient du bon-sens et de la rigueur de tout citoyen sincère et honnête.

tekaia a. - 10-02-2012 12:16

L'émission du lundi soir sur watanya 2 était un fiasco total ; son animateur n'était pas du tout à la hauteur de ce genre d'émission : un ton antipathique, non respect des invités, des questions anarchiques et non ordonnées, son arrogance, la nervosité du représentant de la nahdha et son échafouré d'entrée avec l'animateur ensuite avec noureddine ben ticha...heureusement que si béji a gardé son sang froid avec Mr néjib chebbi. Il va falloir attendre encore longtemps pour que ce monsieur soit à la hauteur d'une émission pareille.Bref c'est dommage!

dr.zaiane - 11-02-2012 02:55

Rassambler des partis éparpillés est une bonnechose,car c'est en s'unissant sous l'égide d'un homme jouissant d'un prestige et d'une riche expérience politique tel que M.C E qu'un tel parti puisse endiguer la domination islamiste -Ennahdha et les Salafistes. C'est une excellent initiative.Bon courage M.Caid Essebsi!

X

Fly-out sidebar

This is an optional, fully widgetized sidebar. Show your latest posts, comments, etc. As is the rest of the menu, the sidebar too is fully color customizable.