Gouvernement : Chahed met les dernières retouches
Le nouveau gouvernement est sur la dernière ligne droite et son annonce pourrait intervenir dans le courant de la semaine prochaine. On nous promet quelques surprises. Dans son numéro du vendredi, le journal El Maghreb rapporte qu’une rencontre a eu lieu mercredi entre Youssef Chahed et Mongi Rahoui au cours de laquelle le dirigeant du Watad s’est vu proposer un portefeuille ministériel dans le prochain gouvernement. Selon le journal, Mongi Rahoui a réservé sa réponse en attendant de se concerter avec les dirigeants de son parti.
Commentant cette information, le secrétaire général du Watad, Mohamed Jmour, composante du FP n'a l'a pas démentie, mais a précisé que le geste de Rahoui n’engageait que lui et que le FP avait refusé toute rencontre avec le chef de Gouvernement désigné l'a jugeant sans intérêt.
Principal parti d’opposition avec 15 députés, le Front populaire a toujours rejeté les avances qui lui ont été faites d'entrer au gouvernement que ce soit sous la troika ou après les élections législatives d'octobre 2014.
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1) Il faut prévoir que le nombre des touristes russes va diminuer. Les Russes vont plutôt visiter la Turquie. Je trouve que l'ambassadeur allemand a tout à faire raison avec ses remarques. Il suffit de demander aux couples mixtes pourquoi leurs femmes européennes évitent de plus en plus les plages tunisiennes. Ces couples mixtes qui dépensent chaque année des milliers d'euros pour aller se baigner. Pourquoi pas en Tunisie avec un transfert direct de devises et des facilités bancaires? Il suffit de mieux nettoyer les villes, les plages et les environnements ... Peut-être des agences de voyages avec un focus sur ce genre de touriste tunisien payant et leurs amis? 2) Il faut prévoir une stratégie nationale pour résoudre le problème des eaux potables. Pourquoi ne pas installer des usines de dessalement de l'eau de mer dans chaque ville? Ça se combine avec l'utilisation de l'énergie solaire. 3) Il faut réduire le taux des infractions routières. En plus c'est un moyen d'améliorer le budget de l'État. 4) Mais sans la réduction du poids de l'économie parallèle et la corruption, la Tunisie n'a aucune chance de sortir de ses problèmes.
