News - 21.08.2020

Mohamed Aloulou: A mon «petit frère», le Grand Hamadi Agrebi

Mohamed Aloulou: A mon «petit frère», le Grand Hammadi Agrebi

Cher Hammadi,

Il ne m’est pas facile de parler de toi, toi qui es pour moi à la fois le petit frère adoré, le joueur au talent immense que j’ai eu le bonheur d’admirer et l’artiste incomparable que ton Club, le CSS que j’aime tant, a eu la chance de posséder.

Je t’ai connu et «reconnu» tout jeune, enfant, et ton talent était déjà immense et évident.

Je t’ai suivi et admiré tout au long de ta brillante carrière de footballeur, dans les moments de gloire et au-delà des épreuves, depuis les catégories jeunes jusqu’à ta consécration de joueur au plus haut niveau, international, professionnel, et jusqu’à ton retour bienvenu au bercail.

Partout où tu es passé, tu as suscité l’admiration pour tes qualités de footballeur exceptionnel, qualifié à juste titre de «magicien du ballon». Mieux encore, tu as su mériter l’estime et la reconnaissance pour tes qualités humaines, faites de modestie, de correction, de fidélité et de générosité.

Tu as servi et honoré avec autant de dévouement ta patrie et les tiens.

Tu comprends alors mon bonheur de te voir aujourd’hui en «vétéran» bienheureux dans sa merveilleuse petite famille, adulé par les siens, de partout et au-delà des frontières, riche de l’affection de tous.

Ne m’as-tu pas dit, avec beaucoup d’émotion, que c’était là pour toi ta meilleure satisfaction dans la vie et ta plus grande richesse?

Tu mérites bien plus et tu as su tout dire.

Tu es le véritable artiste, celui qui aime donner et partager, celui qui a compris et aimé la vie.

Tu es le meilleur.

Nous sommes tous fiers de toi

Nous sommes d’autant plus fiers que nous savons que nous ne sommes pas les seuls à t’apprécier, à t’aimer et à te souhaiter tout le bien et le bonheur que tu mérites.

Merci pour tout le bonheur que tu as su nous donner, sans compter.

Merci à notre Club, le CSS, d’avoir tenu encore une fois à t’honorer pour te témoigner notre reconnaissance infinie.
Ton grand frère de toujours,

Mohamed Aloulou