Amel Karboul ouvre le dossier de l'endettement du secteur touristique

Le mot clé c'est : " TITRISER " et laisser les hôteliers s'assumer.

Et si les autres ministres 'commerce, industrie et chargés de services, ...) faisaient de même. Le "critiquable" c'est que cette initiative n'était pas volontaire, il y a donc retard du "préventif" de madame la ministre. Malgré cela, un effort remarquable à suivre. Les dispositifs sont à mettre en place au plus vite, et les analyses ne doivent pas tarder pour éviter un K.O. d'un secteur qui "boite" à l'instar des autres branches de l'économie.

Outre les problèmes de gestion, plusieurs hôteliers acceptent de travailler à crédit avec le premier venu, des tours opérateurs européens qui déclarent faillite sont nombreux et qui profitent de leurs maladresses, et c'est l’hôtelier , par conséquent le contribuable tunisien qui paient. et j'en connais plusieurs cas.

En posant le problème de l'endettement,on ne sort pas du piège de patrons assisté. C'est la même rengaine. Nos patrons veulent comme toujours le beurre et l'argent du beurre. Dans le système capitaliste,la sanction de l'incompétence et de l'echec c'est la disparition. Et l'Etat n'a pas à aider les profiteurs et les incompétents.